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Un soir de 44, avant le désastre,

On n’avait pas tous 18 ans et nous sommes des Résistants,

Pour protéger notre patrie, envahie par les Nazis,

Pour défendre nos chers et tendres qui à la maison nous attendent.

La force de la rébellion, soutenir la France, la Nation,

Contre les Nazis notre position, l’oppression nous combattons,

Une petite ferme du sud-ouest de la France,

C’est à Saucats, à Richemont, que l’on est devenu Résistant.

 

Refrain 

Une bande de résistants, opposés aux Allemands,

Des hommes obéissant, à leur propre croyance,

Un réseau rempli de combattants,

Notre seul rêve, faire régner la tolérance.

On s’appelait François, Roger, Michel et Christian,

Des lycéens, amis, résistant aux Allemands.

 

Nous étions à l’école, des étudiants,

Nous sommes devenus résistants,

Nous résistions et nous nous opposions,

Notre sang, tôt ou tard, allait couler pour défendre la Nation,

La rébellion était notre solution,

Nous refusions les Allemands, l’occupation,

Malgré cela ils nous ont encerclés, assiégés,

Dénoncés par des hommes, ils nous ont fusillés et retiré nos libertés.

 

 

Une bande de résistants, opposés aux Allemands,

Des hommes obéissant, à leur propre croyance,

Un réseau rempli de combattants,

Notre seul rêve, faire régner la tolérance.

On s’appelait Lucien, Guy, Daniel et André,

Des lycéens, amis, résistant aux Allemands.

 

Pour avoir résisté, les 12 sont tombés,

Le dernier arrêté, est à Souge, fusillé,

Leur destin est tragique, mais leur idée unique,

La milice et la gestapo ne leur ont pas fait de cadeau.

Ils sont tombés sous les balles, de ce combat héroïque et inégal,

Malgré leur âge, ils avaient beaucoup de courage,

Ils étaient 12 martyrs, le 13ème a pu s’en sortir,

Il finit sa vie au camp de Souge,

Où la terre sous ses pieds est devenue rouge.

 

Une bande de résistants, opposés aux Allemands,

Des hommes obéissant, à leur propre croyance,

Un réseau rempli de combattants,

Notre seul rêve, faire régner la tolérance.

On s’appelait Rivière, Jean-Pierre, Jacques et Jean-Claude.

Des lycéens, amis, résistant aux Allemands.

 

 

Une lutte sans nom qu’ils ont mené pendant l’occupation

Des lycéens sans défense, des âmes voulant protéger la France

Une désobéissance leur infligeant cette souffrance,

Une lutte pour leur indépendance

Partisans de la Résistance, ils ont contribué à la victoire de la France

Ils en payèrent le prix et y laissèrent leurs vies.

Pour eux, pour l’avenir, nous devons agir contre l’oubli.